Entourée de deux sirènes iridescentes, AmannamA chante dans les multiples langues qui l’ont bercée, elle joue, danse, compose, armée d’espoir, d’un banjo, d’un violoncelle, de percussions, de ses rêves, de ses doutes et de ses voyages.
Un spectacle étrange et envoûtant, où création et chants du monde se fondent.
Un bon barde sait se passer d’électricité et d’artifices. Le monde d’après n’a pas encore donné ses contours, quels qu’ils soient nous y chanterons. C’est ainsi qu’AmannamA a décidé de proposer une version acoustique de son répertoire.